Sujet pertinent et d’actualité avec cette proposition du service prévention de la délinquance de la Ville de Manosque. Une journée durant, les membres référents sécurité et prévention de la délinquance et des observatoires de citoyenneté et tranquillité publique de la ville et de l’agglomération ont écouté et questionné Séraphin Alava, professeur en sciences de l’éducation et expert à l’UNESCO sur les liens médias sociaux et les radicalisations.
Des échanges constructifs pour présenter de nouvelles formes de médiation et d’appropriation des savoirs. Et quelques clichés qui tombent. Un individu n’est pas forcément radicalisé s’il porte la barbe et s’habille à l’oriental. Par contre s’il se coupe de ses contacts habituels ou de sa famille au profit de sphères obscures, s’il affiche une grosse séparation et sans contact avec toute femme, ou encore s’il passe des heures isolé dans un lieu clos mais avec accès internet… là il faut s’inquiéter, voire effectuer un signalement car les contacts avec un individu (ou un groupe) radicalisé sont inopérants.
Comprendre, prévenir et éduquer furent les maitres mots de cette journée. Je vous propose d’écouter l’animateur de cette opération, le professeur Séraphin Alava.
Des échanges constructifs pour présenter de nouvelles formes de médiation et d’appropriation des savoirs. Et quelques clichés qui tombent. Un individu n’est pas forcément radicalisé s’il porte la barbe et s’habille à l’oriental. Par contre s’il se coupe de ses contacts habituels ou de sa famille au profit de sphères obscures, s’il affiche une grosse séparation et sans contact avec toute femme, ou encore s’il passe des heures isolé dans un lieu clos mais avec accès internet… là il faut s’inquiéter, voire effectuer un signalement car les contacts avec un individu (ou un groupe) radicalisé sont inopérants.
Comprendre, prévenir et éduquer furent les maitres mots de cette journée. Je vous propose d’écouter l’animateur de cette opération, le professeur Séraphin Alava.